Au début du confinement, j’étais hyper motivée pour continuer à me bouger les fesses. Tous les matins, je sortais sur mon balcon et je faisais ma séance : burpees, squats, pompes, … Et puis, j’ai été malade : un grosse bronchite asthmatiforme. Les médecins m’ont dit que c’était surement le Covid, malgré les PCR négatifs, malgré la radio de mes poumons sans aucune trace de foyer. Et puis au bout de 4 semaines de toux à m’en arracher la gorge, avec l’aide d’antibio, c’est passé ! Mais au bout de 4 semaines de repos, je n’ai eu plus aucune motivation pour les burpees, les squats, les pompes et la courses ! Ce qui est dur dans le jogging, c’est la reprise ! J’ai donc retardé la reprise… Jusqu’au jour où : il faut y retourner ! Le corps le réclame, l’âme le demande mais surtout l’envie de retrouver la petite troupe de la Ufit Family. Effectivement, la reprise est difficile. J’ai un rythme de course de mémée et mes abdos se sont volatilisés avec les apéros zoom multipliés ! À l’horizon : 3 semaines de vacances. Elles sont attendues ces vacances : loin de la région parisienne, loin de notre lieu d’enfermement de ces derniers , … Nous partons dans mon petit paradis « Le Croisic ».

Objectif : Faire oublier le confinement à notre corps

Exit les apéros, les assiettes trop remplies, les compositions déséquilibrées, et la consommation régulière d’alcool. Cette année, les vacances riment avec vacances de remise en forme ! Je ne lâche rien ! En plus, je vous avoue que mon coach me fait des entrainements personnalisés, il adapte ces cours à ma petite condition. Grace à lui, il y a un peu moins d’écart entre moi et le groupe. Impossible pour moi de perdre ce petit bonus. Pour cela, je me suis télécharger un planning de course pour 3 semaines à raison de 3 courses par semaine. C’est si agréable d’aller courir au bord de l’océan, et cela à n’importe quelle heure de la journée. En règle générale, je vais courir seule. Je profite donc d’un temps pour moi, sans cris, sans bruit. Ce temps de course est donc un temps de plaisir. Des fois, je partage ce temps avec mes loulous : ils sont en vélo, et se font des pauses régulières pour attendre leur maman. Mon moment préféré, c’est le soir. Le soleil se couchant sur la mer est apporte souvent des ondes apaisantes.        

Les séances ne se ressemblent pas. Je fais des séances fractionnées, des courses lentes, d’autres plus rapides. Je longe la côte sans ajouter de la complexité, j’ajoute des montées, je cours en bord de mer où sur les chemins intérieurs à la presqu’île. 

La découverte des parcours me font rapidement oublier les moments difficiles et j’arrive à prendre un rythme régulier.

La fin de la course est toujours aussi sympa aussi : soit je rentre par la côte, soit par l’intérieur. La marche me permet de finir la course sur une note positive : « j’y suis arrivée ! », « je suis trop contente de ma séance », « je suis fière de moi ». La marche c’est aussi un moment de sérénité, sans effort qui me permet aussi de relâcher les muscles.

Je rentre avec de belles images en tête : paysage de ma course.

Mais la course n’est pas mon seul dada pendant ces vacances !

La marche, les balades en famille, la nage dans l’océan, … sont tout aussi important pour se sentir « EN VACANCES » !

Les enfants ne sont pas en reste car en plus des balades et des jeux sur le sable, ils ont aussi pu pratiqué des activités très sympas comme l’initiation au surf où un stage de poney.

Nous repartons avec une pêche du tonnerre. Les vacances sportives ont vraiment eu un effet très positif sur toute la famille.

 

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